Samedi, 18H :
Je tourne un peu en rond. Mélange de stress, d’impatience, de curiosité, et un peu de peur aussi. Après avoir préparé des « gatosports » maison (pas très bons d’ailleurs) pour le petit dèj, je décide d’aller préparer mes affaires. Normalement, la pluie devrait nous épargner, mais avec un départ à 7H du mat’, il risque de faire encore frais. Je blinde donc mon sac : mon t-shirt sans manche habituel pour les courses, un manche longue, 2 manches courtes, short, pantalon, casquette (of course !), chaussures… Plus des affaires de douches, des affaires pour me changer, mon Camel back, et toute ma bouffe : pate de fruit, compote, barres de céréales, Tucs, Sporténine et Isostar ! Si j’ai faim avec tout ça…
Samedi, toujours. 22H30 :
Bon, il serait temps d’y aller là… Réveil à 4h45 un dimanche matin, faut-y être c**… C’est parti au lit, à reculons. Pas envie de dormir. Plutôt envie de courir. C’est bon signe non ?
Dimanche, (enfin !), 4H45 :
Quand faut y aller… Le lever est dur, la nuit a été courte et très agitée. J’ai les jambes dures, mais bon, je me fais pas de souci, c’est dans la tête tout ça. Et la tête est motivée. Direction le p’tit dèj, où je pioche dans le super granola maison de Solen et dans mes pas super gatosports. Le tout accompagné d’un thé bien chaud au miel ! Après avoir mangé, je m’habille. Je vérifie rapidement mes affaires, mais je ne me fais pas de souci. Il est l’heure, il faut y aller, direction La Queue Lez Yvelines. Je commence à connaitre l’endroit, point de départ de plusieurs courses auxquelles j’ai déjà participé : le 20Km du Trail des Cerfs et le Marathon des Yvelines, tous deux l’année dernière.
Dimanche, 6H15 :
Le coup de feu est pour dans ¾ d’heure, je suis serein. Je récupère mon dossard, ce sera le 956 pour cette fois ça. Je regarde les autres coureurs, je me sens « petit joueur » par rapport à eux. Un peu l’impression de ne pas jouer dans la même cour… Mais si je suis là, c’est pour moi, pas pour eux. Alors je m’installe dans un petit coin, et commence à déballer mon paquetage. Toujours indécis sur la tenue idéale, je fais plusieurs essais. Je ne me pose pas de question pour el bas, ce sera short. Le haut, je finis par me décider pour une triple épaisseur ! Mon sans-manche « moulant » ^^, un manche longue assez fin, et mon manche courte « Trail des Cerfs 2009 » par-dessus, le dossard accroché dessus. Au pire, je pourrais m’arrêtais enlever le manche longue si j’ai trop chaud, mais je veux surtout éviter d’avoir à défaire le dossard pour le transférer d’un t-shirt à l’autre pendant la course. Je sors ma casquette, et là, je me crois retourné en enfance, quand arrivé en colo je trouvais un mot de ma mère dans ma valise ! C’est en effet un petit post it recouvert de mots gentils de la part de Solen. Ca me fait trop plaisir. Alors que je viens de lui envoyer par sms mon numéro de dossard pour qu’elle le mette sur mon blog (merciiii beaucoup !), je lui en renvoie un pour la remercier. Hop, je glisse le petit mot dans le Camel back, je ne suis plus à 10g près, et ça me réconfortera pendant les moments difficiles… Bon, le bonhomme est près ! Les tétons protégés, les pieds nokés, un sporténine avalé. Le Camel back maintenant… J’ai remplit la poche à eau avec quasiment 2L d’eau. J'ai un petit sac avec couverture de survie, pansements, Commpeed, que je prends sur mes trails depuis l'Origole. Un T-shirt, un coupe vent, des barres de cérélaes, deux comptes, des pâtes de fruits à foison... Bien chargé le garçon ! Mais c'est l'heure d'aller écouter le briefing...
Dimanche, 6H55
Un petit groupe (120-125) se presse sur la piste, et écoute les deux bénévoles. Rappel des consignes de sécurité, du balisage, et de l'unique barrière horaire : 3H30 pour passer le 25eme. Les coureurs arrivant en retard seront déroutés sur la fin du 35Km. Ok, ce sera donc un premier objectif qui parait vraiment jouable.
Un petit groupe (120-125) se presse sur la piste, et écoute les deux bénévoles. Rappel des consignes de sécurité, du balisage, et de l'unique barrière horaire : 3H30 pour passer le 25eme. Les coureurs arrivant en retard seront déroutés sur la fin du 35Km. Ok, ce sera donc un premier objectif qui parait vraiment jouable.
Dimanche, 7H
Attention, top départ ! Je me place directement sur la dernière ligne. Impatient d'en découdre certes, mais surtout pas envie de partir trop vite. Je me dis qu'en me mettant derrière et en suivant ce rythme, je devrais pouvoir partir tranquille. On part donc, je suis sereinement dans le top 10 en partant de la fin, mais pas de souci, je suis à ma place. Le premier kilo, plat, est fait en 6'25". Après 1,6Km, petit bouchon, pour entrer dans la forêt. Ça commence à monter doucement sur environ 600m, je continue à courir en faisant attention à mon souffle. Je reste à quelques dizaines de mètres et à une dizaine de coureur du vélo balais, sur mon petit rythme. Je cours tout seul, j'entends deux mecs parler derrières, ils ont l'air marrant, mais je n’ai pas envie de ralentir, faut pas déconner non plus ! Le parcours reprend quelques portions du marathon que je reconnais. Quelques montées, quelques descentes, surtout sur du bitume, pendant lesquels je garde le même rythme.
On entre dans la forêt, et les chemins se font plus étroits. Haaaaaa, le trail commence ! Le parcours est vallonné pour le moment, mais sans grosses difficultés, je cours donc tout le temps, sur des allures oscillantes entre 6'10" et 6'20". Tranquille et constant, la bonne formule (enfin j'espère !). Je sens que quelqu'un revient sur moi. Dans une petite montée étroite, où je ralentis, je lui propose de me pousser pour le laisser passer. Il me répond « non merci ». On continue donc comme ça, et je me dis que ça risque de durer longtemps. J’ai envie de discuter un peu, mais bon, pas évidement, c’est assez étroit, un peu cassant, je me dis que c’est pas le moment... Première difficulté, je commence à marcher. Je relance sur le plat ou en descente, avec toujours ce coureur collé aux basques. Au final, ça me fait augmenter légèrement le rythme, ce n’est pas plus mal. On remonte d'ailleurs sur un traileur à bâtons, maintenant en ligne de mire. Arrive une grosse montée, je prends une petite barre de céréale en marchant, le repas commence ! Je suis dans mes pensées, et j'avoue que je ne fais pas trop attention aux rubalises, surtout avec ce traileur quelques dizaines de mètres devant. D'un coup, j'entends mon suiveur qui m'appelle. A ouais, bien vu, il fallait tourner à droite... Par contre, aucune trace du mec qui nous précédait. Je crois bien qu'il a tracé tout droit lui aussi... Demi tour (wouha, au moins 3 mètres en rab ! :), et nous voilà cote à cote. J’en profite donc pour commencer à taper la discute. La course, le rythme, les Templiers (il l'a fait deux fois), tout y passe. Il prend maintenant des relais et me prend systématiquement quelques mètres dans les descentes, mais je reviens tout de suite sur lui sur le plat. Tout roule, je suis bien, il fait beau, mais encore un peu frais. J'essaye de me faire plaisir sur quelques petites descentes en allongeant la foulée, mais je reste calme. C'est là qu'arrive le premier ravito ! Hop, 16Km600 en 1H48min (6'38" au kilo en moyenne). Comme prévu, je prends mon temps. J'enlève mon Camel, prends un verre de coca, mange quelques Tucs. Je laisse les bananes, oranges et autre pain d'épice pour les autres... Je prends le temps d'envoyer un petit message à Solen, histoire de la rassurer "16ème kilo en 1H49, tout va bien !". Je reprends mon sac, et là, mauvaise surprise... La "tétine" a trainé dans la poussière, youhouuuuu. Ca m'apprendra à faire gaffe à mon matos... Petit lavage dans un verre d'eau avant de repartir, mais bon, la première gorgée sera spéciale... Aller, plus que 23 kilomètres avant le prochain ravitaillement !
Mon nouveau pote m'a attendu, alors, on repart ensemble. On rattrape encore un gars ou deux, au fur et à mesure, mais bon, vraiment doucement. Et puis, on nous double pas, c'est déjà ça de pris ! ;) D'ailleurs, on a un nouveau pote, on est trois maintenant ! Arrive le 20ème kilomètre, premier (et seul !) Check Point du parcours : 20Km en 2H16min, 105/120 (soit 6'46" de moyenne).
Du 20 au 26eme, le parcours est relativement plat. Je les avale bien (6'24" en moyenne dont un en 5'59"). Bien sur, je commence à sentir les jambes, mais c'est encore bien gérable. Je continue sur le même rythme, marche en montée, je m'alimente bien et je bois régulièrement. Je prends mes distances sur mes deux compagnons à la faveur de longues montées (mais pas trop raide) sablonneuses et de quelques descentes rocailleuses. J'arrive vers le 30eme, encore une longue montée de sable en pente douce. Je croise deux promeneurs, les saluts. Le monsieur me demande "vous en êtes à combien ?". "Déjà 30 kilomètres de fait ! Mais il en reste encore 20 !". Il n’en revenait pas ! Bon, bah c'est pas tout ça, mais j'ai une montée à finir moi... Elle semble encore bien longue, et je suis tout seul. Du coup, je sors de mon sac du ravitaillement pour remplacer ce que j'ai déjà consommé, et j'en profite pour lire le message de Solen reçu peu de temps après le premier ravito. Elle m'encourage et pense à moi, cool !
Devant / Derrière - Si, je vous jure, ça monte (doucement) - 30eme kilomètre, 3H25
Les cuisses tirent, mais je sens surtout les abducteurs... Sinon ça va ! J’ai un peu chaud, mais il y a un peu de vent. Je remonte les manches du t-shirt, car j’ai peur d’avoir froid en l’enlevant, alors, je test comme ça. Et je resterais ainsi jusqu’à l’arrivée.
Commence un long périple solitaire, sur des allés larges et roulantes. Quelques montées aussi, histoire de s’amuser un peu. Et arrive la meilleure portion du parcours, environ 1,5 à 2 kilomètres de single track en sous bois, bien cassant. Les bruyères commencent à pousser, le sol est souple grâce aux épines de pins (qui cachent quand même quelques cailloux et racines)… Un vrai régal. Vraiment, à ce moment là, je me suis juste senti super heureux d’être ici quoi… Je remonte d’ailleurs rapidement un coureur qui n’a pas l’air bien, ce qu’il me confirme. Je lui propose même à manger (avec tout ce que j’ai dans le sac…), mais il lui en reste. Juste, il n’en peut plus, et il reste encore de la route… Je le distance rapidement, et remonte sur un autre coureur. Pourtant, je n’ai pas augmenté le rythme. On continuera ensemble, en discutant de nos expériences : il revient de blessure et à fait le Marathon des Sables « dans sa jeunesse ». Wouhaaa, trop la classe ! On a maintenant rejoint le tracé du 20Km, je reconnais certains endroits, mais je n'arrive pas à anticiper sur les difficultées à venir. Je reconnais néanmoins qu’on approche du deuxième et dernier ravitaillement, normalement au 39eme. Bizarre, mon GPS m’indique 36,5… Je prends une nouvelle fois mon temps, lecture du message de Solen, envoi d’un autre. Les bénévoles (très gentils, comme d’habitude ;) nous confirme qu’il reste 11 bornes. Plus qu'à gérer maintenant, le plus dur est fait... Après avoir une nouvelle fois avalé coca et tucs, on repart à deux. Rapidement, mon compagnon tarde à relancer sur le plat, et je me retrouve encore tout seul. Il y a quelques cotes bien casse-pattes dans ce secteur, puis des chemins plus larges et plats. Je franchis le kilomètre 42,195 tout seul, un grand sourire aux lèvres…Je fini par remonter un nouveau traileur. Encore une fois, on discute un peu, le temps passe plus vite et la relance est plus facile. Plus que quelques kilomètres, je déroule maintenant.
Une nouvelle fois, alors que je relance gentiment après une cote, je me retourne et vois qu’il ne suit plus. Il me lance un « A tout à l’heure, moi j’en peux plus ». Je reconnais les chemins par lesquels nous sommes passés à l’aller, c’est du bon ! Du plat, puis une longue descente en pente douce un peu piégeuse (à cause des racines, des cailloux et de la fatigue) au bout de laquelle je doublerais encore deux personnes. Allé, 1 kilo, 2 maxi et c’est fait. J’ai même un nouveau traileur en ligne de mire, mais il recommence à courir et je n’arriverais pas à revenir sur lui. Le stade est là, plus qu’un tour de piste… Bouclé !
48,5 Km en 5H47 (7’09’’kilo – 8,4 Km/H – 97/120)
Un peu fatigué quand même... :)
Le premier fini en 3H58min49sec et la première féminine (16eme) en 4H31min03. Un autre monde…
Voilà, j’ai finis mon premier ultra. Petit ultra, certes, surtout qu'au final, on n'atteint pas les 50Km. J'ai d'ailleurs l'agréable sensation à l'arriver de me dire que j'aurais pu continuer encore quelques bornes. Mais il faut bien commencer par quelque chose ! Et je suis super content de ma course. Clair que le rythme est pas fabuleux, mais je suis sous les 6h, chose que j’avais en tête sans être vraiment un objectif. J’ai relancé après toutes les montées, courant sur le plat et dans toutes les descentes (contrairement à mes trails précédents), et j’ai vraiment eu le sentiment de maitriser mon rythme et d’avoir pris du plaisir. Etre là, enfiler les kilomètres sans me soucier du chrono final, en essayant de gérer mon effort dans les montées et mon alimentation, en discutant avec les autres concurrents... Le lendemain, quasiment pas de courbatures, mais les articulations un peu grippées. C’est maintenant globalement rentré dans l’ordre, mais ça ne va pas m’empêcher de m’offrir deux semaines de repos avant de me replonger dans l’entrainement, avec mon premier vrai ultra en ligne de mire, les Templiers en octobre.
Enfin, bravo à Patrick Buthier qui boucle le 35Km en 3H10 (5ème V2H). Bravo aussi aux Rumba alignés sur le 20 : Aurélie et Philippe qui mettent 1H59min59 et Anne et Valérie en 2H07 ! Le CR, c'est ici !
Par contre, pas bravo à Jonath qui n'est que3ème sur le 20Km, en 1H27min40sec ! :)
First commentaire !!!!! Youhou !!!!!
RépondreSupprimerTu feras gaffe, il y a un espion qui te suis sur chaque photo... take care... Juste derrière... Ou alors c'est un cerfs du trail des cerfs...
J'ai envi de dire la classe pour cette super course ! Là où un homme normalement constitué verrait un vrai cauchemars, le man est so happy !!! ;)
Bien joué ! Et merci pour ta photo en gros plan, ca donne un bon aperçu de ton ressenti "fatigue" en fin de course !! hihihhihihi
Continues comme ca et tu n'auras plus jamais besoin de voiture !
Ps : en voyant ton parcours google earth, ca me donne une idée de t.... ! ;)
Toujours aussi agréable et sympa à lire tes CR de courses grand fou ! ^^
RépondreSupprimerBravo à toi en tout cas ! (et à demain lol)
To'
Bravo pour avoir passé cette barre des 42,195 km, félicitations :-) Tu t'en sors bien au niveau gestion de l'effort et tout, on lit que tu t'es fait plaisir.
RépondreSupprimerBon Jonathan, 3:58:49 pour 48,5 km, ça fait du 12,2 km/h de moyenne... Il y a moyen que tu leur pètes leur record de l'épreuve le jour où tu n'as plus de problème de jambe non ?!
Merci Adri, c'est vrai que sur ce genre de course, tu partages beaucoup avec les autres concurrents, c'est aussi ça qui en fait le charme, le coté "tous dans le même bateau".
RépondreSupprimerToto, merci pour ces compliments. Tu verras
bientôt la même chose en VTT ;)
Alex : Je me suis dit la même chose ! Jonath, ça me semble à ta portée. En plus, le dénivelé est vraiment gérable en plus. Et merci Alex, j'espère repasser cette barre avec toi un jour... :)
Bravo Momo pour cette belle ballade. On voit que t'as pas forcé, parce qu'il n'y a pas d'histoire de vomi dans ton compte rendu!!
RépondreSupprimerEn tout cas ça fait plutôt long presque 6h de course.
Ce qui est étonnant c'est que l'an dernier tout le monde disait le parcours est plus long, et cette année il est plus court : tous les mecs d'Accrorun qui font le 50 tous les ans ont gagné entre 15 et 20 minutes cette année.
En effet j'ai fait que troisième, mais c'est déjà pas mal, et j'ai pas encore repris l'entraînement normalement, parce que j'ai encore mal à la jambe et au dos.
Et le jeudi j'avais fait la montée du Grand-Ballon, qui était d'un tout autre niveau!!!
Pour ce qui est du record, faudra déjà que je teste sur du long comme ça avant de penser péter direct des records, mais c'est vrai que ça semble pas trop chaud.
Bravo pour ce premier 50km ! Ce n'est qu'un début !!
RépondreSupprimerMais attention, ne pas trop s'arrêter hein...2 semaines c'est beaucoup ;-)
Allez, à très vite au club !
Ca me fatigue tous ces kilometres....tu es bien payé au moins ?????????????? même pas ? j'y comprends rien !!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerTu as mis les 2 pieds dans le trail, félicitation.
RépondreSupprimerA quand les 70 km en montagne??????
En tout cas, si je refais l'Origole, je crois que je serais très loin de te suivre.
Garga
@Jonath : De rien, tout le plaisir est pour moi. Bon, concernant le vomi, j'attendais qu'on m'en parle... J'ai arrêté le CR avant. En effet, je me douche au gymnase, tout va bien. Je rentre en voiture, en conduisant, tout va bien. Et là, dans l'ascenceur, je sens que je suis mal. Je suis entré chez moi, et 30sec après, paf, les chiottes... Relou... C'est arrivé d'un coup, plus d'1H après la fin de la course, alors que j'étais bien avant... Accompagné d'une hausse de la température, en mode "bouffée de chaleur"
RépondreSupprimerextrême... C'est bien, tu restes humble malgré les remarques d'Alex et les miennes. :)
en tout cas, vivement l'année prochaine, il était vraiment sympa ce trail (et finalement, pas si pentu vu la distance).
@Anne : Merci ! Effectivement, 2 semaines, c'est beaucoup, heureusement que j'étais bien occupé ce weekend end, sinon, j'aurais peut être pas pu
résister... :) En tout cas je note la proposition que tu as fait via facebook : Millau ou la CCC pour 2011, ça peut le faire !
@Anonyme : Viens avec moi la prochaine fois et tu comprendras ! :)
@Gaël : Merci mec ! ;) Les 70 en montagne, c'est pour fin octobre pour les Templiers ! L'Origole, cette année, ce sera encore le petit format, donc je compte sur toi !
Mon ti momo !! Ca y est j'ai enfin fini de lire ton compte rendu! Intéressant ! Passionnant même! Ca donne toujours envie de reprendre mais pas le temps encore. En tout cas à te lire ca a été moins traumatisant que les dernières marathons sur route! Vive le trail moi je dis, un point c'est tout!
RépondreSupprimerGros becots ma poule. A très viiite.
Floo